Sortie d’hiver…

Fatigue passagère…

Croissance…

Convalescence…

Stress…

Performances sportives et intellectuelles…?

Tout le monde s’accordera à dire que l’alimentation est une des bases fondamentales de notre survie. Elle est le moyen indispensable de subvenir à nos fonctions métaboliques, ces processus de transformations qui assurent le maintien, la rénovation et le drainage de notre organisme. Pourtant, la qualité de notre alimentation ne semble pas être la première de nos préoccupations. Si tout le monde comprend, ou du moins ressent la nécessité et le plaisir d’un estomac plein, l’aspect qualitatif de la nutrition semble encore échapper à la majorité.

Mais ne vous est-il jamais arrivé de finir un repas copieux avec un sentiment d’insatisfaction plutôt « incompréhensible » aux vues de ce qui vient d’être mangé ?

Dans une société où le temps c’est de l’argent, se restaurer devient une nécessité sur laquelle on ne se penche que le temps d’un repas. Les méthodes même de production de ce qui devrait être une des bases de la santé n’accordent malheureusement que trop de crédit au rendement et à la rentabilité. Ce qui arrive dans nos assiettes est bien souvent constitué d’aliments appauvris qualitativement et dégradés par divers polluants et additifs, quand bien même les répercutions que leurs modes de production occasionnent à l’environnement sont de plus en plus couteuses pour nos organismes. Même la médecine semble avoir une vision de la diététique un peu légère vis-à-vis de la santé. Comment ce fait-il que l’hôpital soit un endroit où l’on mange aussi mal ?

Pourtant, dans diverses situations de la vie courante – croissance, vieillissement, activité sportive intense, stress, poly-médication, pollution, – ou tout simplement pour satisfaire les exigences d’un être vivant, nos besoins métaboliques nécessitent une alimentation saine et équilibrée ou du moins un apport harmonieux des éléments « qualitatifs » nécessaires à leur maintien et à leur reconstitution.

A ce niveau là une distinction doit être faite entre les apports dits quantitatifs et ceux dits qualitatifs. En effet, tandis que les uns fournissent la base nutritionnelle nécessaire à la production énergétique et à l’entretien de notre organisme (glucides, lipides, protides), les autres, à de plus faibles teneurs, correspondent à un ravitaillement non moins indispensable (nutriments essentiels) au bon fonctionnement des réactions enzymatiques à la base de tout le reste. Ainsi, ces apports dits qualitatifs, plus important par leur rôle que par leur masse, sont primordiaux pour le métabolisme cellulaire et ne dépendent pas forcément de la consommation d’un repas, mais de la qualité de celui-ci.

Les oligoéléments ou « éléments traces »

Les oligoéléments ou « éléments traces », qui comme leur nom l’indique se trouvent à de faibles teneurs dans l’organisme, entrent dans cette catégorie d’éléments essentiels indispensables à notre fonctionnement. En tant que catalyseurs des réactions enzymatiques, ils sont le moteur du métabolisme cellulaire. Sans eux, il nous serait totalement impossible de bouger ou d’assumer la moindre de ces fonctions physiologiques qui font de nous des êtres vivants.

Toute carence, aussi infime soit-elle, peut entraîner un dérèglement en cascade des fonctions de l’organisme et de son état général, allant de la simple baisse de forme à des troubles beaucoup plus graves, variables suivant les individus. Nous avons alors l’habitude de traiter les maladies qui en découlent par l’administration de médicaments allopathiques qui n’atténuent finalement que les symptômes, mais ne résolvent aucunement le problème de base qui en est à l’origine. Tout traitement allopathique représente au contraire un agent potentiel d’agression, lui-même couteux pour l’organisme et ne faisant qu’accentuer le déséquilibre. Les effets indésirables, variables suivant les individus et/ou les conditions environnementales, sont bien connus. La pathologie qui en résulte, dite « iatrogène », devient extrêmement complexe à traiter, étroitement intriquée à la pathologie classique pour laquelle on a prescrit le médicament.

Notons donc que les médicaments allopathiques, la pollution, le stress permanent dû à nos rythmes et modes de vie ou encore les diététiques en désaccord avec nos besoins, sont de gros consommateurs d’oligoéléments.

Toutefois, un simple changement de saison, un travail physique ou intellectuel intense, un coup de stress passager, une surcharge alimentaire, la croissance ou le vieillissement, sont autant de cas de la vie courante où l’organisme devra répondre avec une fluidité et une adaptabilité métabolique que seul un équilibre harmonieux en oligoéléments peut satisfaire. Il s’agit dans tous ses cas de figure de fournir à l’organisme la possibilité de rétablir lui-même son propre équilibre biologique lorsque la diététique et le mode de vie n’y suffit plus.

L’usage d’un complément nutritionnel va donc dans le sens d’une recherche de qualité de vie. C’est pourquoi l’usage d’un complément nutritionnel peut être justifié vis-à-vis de situations passagères particulièrement difficiles ou exigeantes pour notre organisme, mais ne doit pas être substitué à une alimentation et un mode de vie adéquats. Cette réflexion s’applique également à la préservation de notre environnement dont la dégradation exige toujours plus à l’organisme.

Avant de vouloir soigner la maladie, à nous de savoir préserver l’équilibre de la santé, et notamment celui de notre environnement !