L’été… En médecine chinoise c’est la saison correspondant à l’organe du coeur et de façon plus globale à la circulation. La tendance aux jambes lourdes, aux membres chauds, à l’insuffisance rénale ou cardiaque sont autant de symptômes accentués par la chaleur.
Les troubles circulatoires sont très répandus et peuvent revêtir de multiples aspects, du plus bénin au gravissime, isolés ou dans le cadre de syndromes plus complexes.

Ils peuvent concerner la circulation artérielle, du centre vers la périphérie, avec notamment les pathologies coronariennes et carotidiennes, les artérites et les lésions athéromateuses. De l’aorte aux fins capillaires des extrémités, l’artère pulse le sang chargé d’oxygène et de nutriments vers les tissus, et il peut y avoir perte d’élasticité, obstruction (athéromes, embolie, thrombose), érosion (ulcères), constriction ou dilatation avec risque de rupture (anévrysme), et les conséquences sont toujours sérieuses car les tissus en aval des lésions artérielles sont très mal irrigués et vont souffrir d’anoxie et de dénutrition avec à terme tous les problèmes d’infarctus (nécrose).
Les troubles artériels doivent être abordés avec prudence, car ils sont rarement bénins. La prévention est ici essentielle, notamment par la diététique et la mise en mouvement du corps (marche, danse, sport). Au-delà, un diagnostic précis est nécessaire avant d’envisager un protocole de traitement dans le omaine de la micronutrition ou de la phytothérapie.
Notons que la lécithine de soja et l’huile de flétan favorisent le nettoyage des artères « encrassées ». Les antioxydants jouent aussi un rôle fondamental, en favorisant un métabolisme complet du cholestérol. Les acides gras polyinsaturés de la famille oméga 3 (huiles de poissons gras) sont de remarquables protecteurs cardiovasculaires, associés à la vitamine C.

D’autres troubles vont concerner la circulation lymphatique et la circulation veineuse, cette dernière menant le sang de la périphérie vers le coeur, ce que l’on nomme « circulation de retour ». Les plus connues parmi les dysfonctions veineuses sont les ralentissements et les oedèmes, les varices, une pénible sensation de « jambes lourdes », toutes manifestations qui traduisent les difficultés du sang pauvre en oxygène et chargé de déchets à revenir au coeur. Ce problème peut être particulièrement important chez le cheval dépourvu de ces valvules veineuses qui stabilisent le sang veineux entre deux contractions cardiaques. Par contre, originellement nomade, il a développé un système de pompage par le coussinet plantaire qui fait fonction de « coeur accessoire ». L’impossibilité de marcher lui est donc particulièrement préjudiciable car sans ce système podal d’aide à la circulation le coeur, qui reste le seul moyen de faire remonter le sang, se fatigue.
Les troubles veineux sont très répandus mais faciles à améliorer ou éliminer avec certains suppléments nutritionnels tels que ceux cités ici. Bien sûr, si les oedèmes sont dus à une insuffisance cardiaque ou rénale grave, ce type d’approche devient secondaire mais conserve son utilité en association avec une accentuation de la diurèse (PhytOhm Diurèse).

Plus complexe, car impliquant à la fois les capillaires artériels et veineux, la fourbure chez le cheval apparaît comme une maladie grave car très invalidante, difficile à guérir complètement et donc sujette à récidive. La diète, une aide à la circulation et à la régénération des tissus grâce au PhytOhm Circulation et à l’OrganOhm 5, ainsi qu’une intervention rapide sont vivement conseillés.