La jument est un cheval entier (le plus souvent) ! Dès lors, son cycle sexuel fait partie de sa physiologie, et l’harmonie physiologique est pour chaque être vivant la base fondamentale du bien-être.

Qu’il s’agisse d’optimiser la fécondité, ou d’intégrer cette réalité biologique dans le calendrier sportif, toute ingérence doit respecter les fondements du vivant au risque de voir apparaître des troubles du comportement, un mal-être, et très vite une pathologie.
Toute approche alternative se doit dès lors de considérer le confort du cheval avant de répondre aux exigences de l’humain utilisateur.
Le cycle de la jument est d’environ 21 jours, variable d’une jument à l’autre. La constante est l’écart entre la fin d’une période de réceptivité (chaleurs) et le début de la suivante : 14 jours.
PrepOhm 9 est utilisé durant la semaine précédant les chaleurs, à raison de 10ml / jour dans la bouche.
L’action est régulatrice de l’ovulation, ce qui évite les cycles courts (« nymphomanie », jument « pisseuse »), les chaleurs persistantes et très expressives, avec hypersensibilité cénesthésique et émotionnelle, douleurs lombaires …
L’ovaire de la jument est entourée d’une enveloppe appelée « albuginée », comparable au péritoine ou au péricarde. Lors de l’ovulation, l’ovule peut rester « coincé » entre ovaire et albuginée, ce qui occasionne une gêne, voire une douleur, et favorise la production de kystes. PrepOhm 9 évite cet inconvénient.
PhytOhm Quiétude Plus sera employé en synergie avec PrepOhm 9, à raison de 15ml matin et soir dans l’aliment, afin d’atténuer l’expressivité comportementale, émotionnelle, et procurer ainsi confort et sécurité au cheval et aux autres vivants alentour. Dès l’obtention d’un apaisement les prises peuvent être espacées, jusqu’à trouver, cheval par cheval, le nombre de prises hebdomadaires nécessaire au maintien du confort.
En cas de kystes ovariens, utiliser Framboisier bourgeons (Rubus idaeus) à raison de 10ml / jour dans la bouche, 25 jours / mois, minimum 4 mois.

Quelle que soit la solution adoptée, il faut considérer la procréation comme un besoin fondamental de l’animal parvenu à maturité. Il est donc (bio)logique et prévisible de voir apparaître des troubles dès lors que l’on interfère pour notre confort avec les besoins essentiels d’une espèce animale en co-évolution.