
Promotions hiver 2025
Nos idées de produits pour accompagner votre animal à chaque saison :
« Se nourrir, être nourri », les bases de la santé, fondement de la médecine préventive et curative !
Du 5 au 24 décembre bénéficiez de notre focus sur les produits suivants :
- AlgOhm 1kg
- La nouvelle édition du livre Hippothèses 1, « Se nourrir, être nourri »
- 6h de conseils et accompagnement sur la gestion de pâture
Pourquoi le choix de ces produits ?
Promo automne
Promotions hiver 2025
Nos idées de produits pour accompagner votre animal à chaque saison :
« Se nourrir, être nourri », les bases de la santé, fondement de la médecine préventive et curative !
Du 5 au 24 décembre bénéficiez de notre focus sur les produits suivants :
-
AlgOhm 1kg
-
La nouvelle édition du livre Hippothèses 1, « Se nourrir, être nourri »
-
6h de conseils et accompagnement sur la gestion de pâture
Pourquoi le choix de ces produits ?
L’AlgOhm, le choix d’un complément nutritionnel haut de gamme !
Un des grands traits de caractère des grands Herbivores, toutes espèces confondues et dont fait partie le cheval, c’est peut-être le nomadisme, le fait qu’ils se déplacent tout le temps. Ce mode de vie est crucial :
– ne jamais rester au même endroit permet de mieux gérer la pression de prédation en ne donnant pas un point de rendez-vous fixe aux carnivores.
– se déplacer c’est surtout assurer jour après jour l’accès à la quantité de végétal nécessaire pour couvrir les besoins énergétiques de l’animal.
– chez le cheval, dont le mouvement est un constituant majeur de son évolution, le déplacement est même devenu un besoin indispensable pour son bien-être physiologique (fonctionnement des organes, de la digestion notamment, circulation sanguine, etc.) et psychologique.
– indirectement, une fois que l’animal a prélevé ce qui l’intéresse parmi les végétaux qui l’entourent, il passe son chemin, laissant derrière lui le temps à ce même végétal de se remettre de cette perturbation ainsi qu’une fertilisation, deux éléments qui vont contribuer à dynamiser le système et son aggradation sur le long terme : stimulation de la pousse du végétal, meilleure valorisation du rayonnement solaire par la photosynthèse, meilleure production de biomasse, meilleure gestion de la ressource en eau, meilleure production d’humus, meilleur travail du sol par les racines et tous les organismes et micro-organismes du sol, meilleure remontée et valorisation des minéraux et oligo-éléments du sol, meilleure santé animale, etc.
– se déplacer permet donc de mieux disperser les déjections, sans risque de saturation du système et par la même de réguler la pression vermineuse et de limiter ainsi le parasitisme.
– enfin se déplacer c’est accéder à la diversité (d’une plante à l’autre, et d’un environnement à l’autre) ! Et ainsi mieux répondre aux besoins en minéraux, oligo-éléments, acides aminés, vitamines, antioxydants, etc, nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme et des flores microbiennes dont tous les herbivores dépendent.
S’il est important que l’animal puisse accéder quotidiennement à la quantité de fibre végétale qui convient à ses besoins énergétiques, l’aspect qualitatif de l’alimentation est également indispensable ! Elle n’a d’ailleurs souvent rien à voir avec une ration « énergétique » ou « protéique » avec laquelle on la confond, cette dernière s’avérant même souvent inadaptée, voir problématique. Avec un apport journalier de fibre végétale de type herbe mature et foin un cheval adulte est capable, grâce à sa flore microbienne (si elle est fonctionnelle) de subvenir à la plupart de ses besoins énergétiques et protéiques. Mais là où il peut y avoir de vraies carences c’est au niveau des apports en minéraux, oligo-éléments et certaines molécules synthétisées par le végétal ou le monde bactérien telles que certains acides aminés, vitamines et provitamines, antioxydants, etc. qui sont nécessaires au bon fonctionnement de l’ensemble des processus métaboliques de l’organisme et des flores symbiotiques, assurant à l’animal la capacité de maintenir au mieux son intégrité et son état de santé dans le temps.
La sédentarité de l’herbivore est donc un vrai challenge car, en limitant spatialement l’animal, elle réduit souvent l’accès à la biodiversité nécessaire à sa santé. Par ailleurs, en l’absence de la mise en place d’une gestion de pâture adaptée à son mode de vie nomade, l’animal se retrouve très vite à avoir un impact néfaste sur le système végétal en place, qui perd en productivité, en qualité et en diversité. Le sol se dégrade ne donnant plus accès à sa richesse minérale et sature sous les déjections animales qu’il n’arrive plus à gérer. Avec des degrés de dégradation pouvant varier, c’est ce qu’on appelle le « surpâturage ».
D’autre part, l’ampleur de nos activités humaines induit depuis plusieurs décennies un changement radical et profond du monde et de ses rythmes auquel nos organismes doivent aujourd’hui s’adapter à toute vitesse (changement climatique, baisse de la biodiversité, toxines et polluants omniprésents, activités permanentes, stress, évolution microbienne, etc). Au niveau métabolique, ce sont des milliers de réactions biochimiques par seconde et par cellule qui sont sollicitées, nécessitant un approvisionnement en minéraux, oligo-éléments (plus d’une trentaine), lipides, glucides, acides aminés, provitamines et vitamines, antioxydants, etc, pour assurer le maintien de nos fonctions vitales.
Une complémentation de qualité est donc souvent une aide fondamentale dans la plupart des moments de transition de notre existence, particulièrement dans les moments difficiles. Cet apport devient même indispensable quand l’écart se creuse entre des environnements de moins en moins aptes à soutenir l’animal, et des animaux de plus en plus sollicités sur le plan métabolique. Dans toutes nos prises en charge, quelle que soit la pathologie et son degré de gravité, une des premières choses mise en place c’est une complémentation de qualité, permettant à l’animal de garantir son plein potentiel métabolique, et donc d’assurer son autonomie dans le maintien de ses fonctions vitales et le processus de guérison.
Alors pourquoi l’AlgOhm ?
Au-delà d’un complément minéral et vitaminique de qualité pour assurer les apports quotidiens nécessaires au cheval, quel que soit son âge, l’AlgOhm a été pensé comme un soutient devant pouvoir aider un animal dans n’importe quelle prise en charge thérapeutique. C’est pourquoi il a été essentiel de prioriser la qualité de ce produit. Le choix des composants, leur origine, ainsi que leur richesse et concentration en nutriment bio-assimilables en est la pierre angulaire.
Le monde végétal regorge de richesses et est la porte d’entré royale pour accéder à un panel d’éléments présentant une excellente biodisponibilité de par le fait qu’ils ont été réunis, concentrés et métabolisés par du vivant. Grace au végétal ils présentent des proportions souvent bien équilibré les uns par rapport aux autres sous des formes assimilables, les rendant facilement utilisables par les organismes qui les consomment, et agissent en synergie, découplant ainsi leurs effets au niveau métabolique.
L’AlgOhm est un complément alimentaire entièrement conçu à partir de produits naturels, évitant ainsi l’écueil des vitamines et autres molécules de synthèse, et concentrant les propriétés de plantes et d’algues particulièrement intéressantes sur le plan de la santé, du soutien des fonctions métaboliques et immunitaires, de l’activation des flores microbiennes et de la protection de la sphère digestive.
Pourquoi les algues? Les algues marines captent directement par osmose les éléments minéraux de la mer et les concentrent. Elles sont dix à quinze fois plus riches en oligoéléments que les plantes terrestres ! D’autre part, les proportions entre les différents macro et oligo-éléments stockés par les algues sont celles du milieu intérieur des animaux supérieurs, ce qui garantit une parfaite assimilation sans fatigue organique ni déchets (biocompatibilité). Enfin, véritables usines biochimiques, les algues synthétisent de nombreuses substances à forte activité biologique, absentes des plantes terrestres, notamment des anti-inflammatoires très puissants, ce qui rend leur consommation hautement profitable aux multiples fonctions cellulaires.
Composition:
Nos ingrédients sont soigneusement préparés à partir de la plante fraiche, selon des méthodes préservant toute leur richesse nutritive, voir améliore leur plein potentiel. Quant à leurs proportions respectives elles ont été pensées afin d’apporter une complémentation optimale couvrant un large éventail et un effet synergique unique, faisant de l’AlgOhm un complément du quotidien d’une grande qualité.
Curcuma, sa racine a des propriétés antioxydantes, régulatrices des populations bactériennes et anti-inflammatoires. Elle a notamment une très bonne action protectrice de la muqueuse intestinale.
Lithotamne (Lithothamnium calcareum) : cette algue calco-magnésienne contient entre 30 et 80 % de carbonate de calcium, 7 à 15 % de carbonate de magnésium, une trentaine d’oligo-éléments, des polysaccharides, des vitamines et acides aminés, ainsi que des pigments et caroténoïdes. Elle a entre autres propriétés celles de rétablir un pH digestif optimum, de restaurer l’équilibre acido-basique du corps, d’augmenter la biodisponibilité de tous les oligoéléments, d’activer les flores symbiotes, de neutraliser les flores pathogènes, de renforcer la densité osseuse, et de contribuer à une bonne intégrité des cartilages et au bon fonctionnement des articulations.
Chondrus crispus ou « mousse des rochers ». Cette algue présente un large panel de macro et oligo-éléments et est particulièrement riche en zinc, en vitamines (vitamine A, E, du groupe B telle que B2, B3, B5 et B12), antioxydants et en acides aminés libres. Cette algue renforce les défenses de l’organisme et a des propriétés antivirales. Elle neutralise les radicaux libres, protège les muqueuses intestinales et dynamise les flores symbiotes. Enfin elle améliore la santé et le renouvellement de l’épiderme.
Gigartina stellata : cette algue riche en glycosaminoglicanes a des propriétés antivirales et protectrices des cellules saines.
Undaria pinnatifida : plus communément connue sous le nom de wakamé, cette algue riche en vitamine B9 et B12 optimise le fonctionnement des cellules nerveuses, le tonus musculaire et le renouvellement cellulaire. Riche également en sélénium, elle favorise le bon fonctionnement de la thyroïde et du système immunitaire.
Ortie (Urtica urens) : cette plante terrestre souvent considérée comme une « mauvaise herbe » est un précieux concentré de macro et oligoéléments (notamment calcium, fer, potassium, zinc, magnésium, manganèse, silice…), de vitamines (du groupe B, C, E et A), d’antioxydants (des flavonoïdes), qui boostent nos défenses immunitaires, et de protéines de qualité et donc d’acides aminés essentiels.
Sels de calcium et magnésium sous une forme particulièrement assimilable (pidolates).
Utilisation de l’Algohm
L’AlgOhm s’utilise en continu toute l’année, à raison d’une cuillère à café par jour. Il est le complément alimentaire idéal d’une (petite) ration de céréales. Pour les chevaux qui ne consomment pas de céréales (ce que nous conseillons), Algohm peut être apporté avec des fruits ou un aliment sans céréale.
Pour aller plus loin
Un livre :
En ce qui concerne le sujet de l’alimentation chez le cheval nous vous conseillons vivement la lecture du livre Hippothèses 1 du Dr Eric ANCELET qui vient d’être ré-édité, entièrement revu, actualisé et augmenté. Le Docteur Eric ANCELET y compile le fruit de toutes ses années d’expérience et d’observation, explicitant clairement les besoins fondamentaux et souvent méconnus du cheval.
Ce livre est le premier d’une série qui a pour thème central la médecine équine, soit l’art de prévenir ou guérir les « maladies » du cheval. L’ensemble se veut résolument PRATIQUE, à la portée de toutes celles et ceux qui vivent quotidiennement au contact des équidés domestiques et en tirent une certaine gratification, malgré les contraintes et difficultés inhérentes à la responsabilité de maintenir l’équilibre chez des vivants non-humains immergés sans recours dans des environnements très fortement anthropisés.
La santé est-elle possible dans de tels environnements ? Ce livre et les suivants tentent de répondre à cette question difficile, d’apporter des solutions par optimisation des capacités adaptatives.
Toute pratique devrait s’appuyer avant tout sur l’expérience et des observations favorisant une réflexion libre de tout préjugé. Malheureusement, et dans de très nombreux domaines, elle n’est qu’une série de routines et d’habitudes imposées, fondées sur des théories et des dogmes devenus des idées fixes, et même des croyances. Il existe pourtant de multiples réalités, ou de multiples façons de percevoir la réalité, fort différentes selon les cultures, les lieux et les époques.
Nous proposons ici quelques « Hippothèses » qui suggèrent une autre façon de concevoir le « sens de la maladie » et « l’art de guérir », face à une médecine « orthodoxe » qui est souvent la seule proposée ou imposée aux utilisateurs. En posant ici comme axiome que la façon de se nourrir, la façon de nourrir, sont la base de la santé, le fondement de la médecine préventive ou curative.
Conseils et accompagnement pour améliorer vos pâtures :
La question de l’alimentation et de la complémentation commence bien évidemment au pré ! Dans quels écosystèmes mettons-nous nos chevaux ?
Le cheval est malheureusement un mauvais pâturier, et sans la mise en place d’une bonne gestion de pâture, il va bien souvent rapidement dégrader son environnement, ne permettant plus à ce dernier d’offrir toutes ses richesses et sa capacité de soutien. Perte de biodiversité, saturation en déchets organiques, blocages du sol, la pâture devient vite carencée et incapable de subvenir aux besoins de l’animal qui y vit.
Corrélativement, nous sommes entourés d’environnements de plus en plus marqués par l’anthropisation, dégradés, appauvris, pollués, et dans lesquels nous mettons nos chevaux. La santé des écosystèmes dans lesquels vivent nos animaux est un facteur important de leur santé. Prendre ce point de départ en considération permet d’une part de mieux appréhender dans sa globalité la santé animale, mais également d’envisager la conception et la mise en place de systèmes de pâturage plus vertueux, respectueux des sols, du végétal, et soutenant pour l’animal.
Cette conception nouvelle de la « pâture » permet d’opérer un changement de focus : prendre soin de nos chevaux c’est également prendre soin de la santé et de la diversité des écosystèmes dans lequels ils vivent ! La gestion de pâture est une pratique qui restaure le paysage dans ses grandes fonctions productives et écologiques, comme la production de fourrages de qualité et diversifiés, mais également la gestion de l’eau et des sols, le soutien de la biodiversité, la tempérance climatique à l’échelle locale, la valorisation du carbone par le végétal, la production de produits annexes tel que le bois, les fruits, les « simples », la production de bien-être et de sens à nos actions.
Avec cette proposition autour de la gestion de pâture nous souhaitons élargir la question de la santé équine et pouvoir apporter des réponses concrètes sur ce sujet riche et passionnant. L’objectif de cette proposition est de permettre à chacun/e de comprendre l’influence des différents éléments qui contribuent à la réussite ou à l’échec d’un pâturage, de savoir les observer et les évaluer, et d’apprendre à contextualiser son lieu avec les atouts et contraintes qui le caractérisent pour que chacun/e puisse prendre les bonnes décisions le moment venu et améliorer au mieux son système.
Nous vous proposons de vous accompagner dans vos projets et de vous aider à développer un nouveau sens de l’observation qui remet les processus biologiques et la vie au centre de nos choix et aménagements, et au service d’une cohabitation vertueuse avec le règne du vivant.
Pour ça nous vous proposons plusieurs formules allant des simples apports théoriques (stages, visio thématiques) aux diagnostics de terrain, conseils techniques personnalisés, étude et suivi de projet à distance ou sur le terrain.
Nos prestations et services :
– Les conseils et accompagnements à distance par téléphone ou visio :
– 1h sur une thématique précise, un avis général sur votre projet ou un diagnostic (à définir en amont lors d’un premier contact téléphonique ou par mail)
– 6h réparties au besoin sur un temps maximum d’une année pour traiter plusieurs thématiques et/ou vous accompagner dans la mise en place de votre projet (à définir en amont lors d’un premier contact téléphonique ou par mail)
– Les conseils et accompagnements directement sur votre terrain :
– diagnostics : lecture de terrain (atouts et points faibles), état de santé du sol et des parcelles, indications floristiques et plantes toxiques et/ou indésirables, améliorations potentielles.
– étude de projet et conseils d’installation : utilisation des parcelles en fonction de la flore, du sol, du type de climat, des animaux et de la surface disponible, parcellisation, rotations et temps de pâturage, planification des circulations, diversification des productions, architecture paysagère écologique, intégration à un projet plus large de production vivrière,
– conseils techniques : plantation de haies, arbres fourragers, création d’une mare, mise à l’herbe, régénération de parcelles, etc.
– Conférences et formations.
L’organisation d’une conférence ou d’une formation se fait en partenariat avec une personne ou structure souhaitant nous faire venir et intervenir sur l’un des sujets suivants : gestion de pâture, l’arbre et la haie, la santé équine, concevoir une production vivrière.
Pour plus d’information, nous contacter.