Guérir la maladie ou guérir par la maladie ?

caresse Les questions de santé concernent aussi bien le fait de préserver l’équilibre subtil du « bien-être », que le fait d’intervenir efficacement au moment où apparait un malaise, une pathologie. Toutefois, ces deux approches, l’une préventive, l’autre curative, peuvent s’appuyer sur des conceptions très différentes de ce que sont la santé et la maladie, sur des manières très différentes d’impliquer, donc de responsabiliser le « patient », et en conséquence sur des systèmes médicaux eux-mêmes très différents.    Lire la suite…

« Se nourrir… être nourri… »
Se pourrait-il que l’alimentation soit aujourd’hui le facteur prédisposant ou favorisant la plupart des pathologies les plus courantes ?

commander

« Naître et grandir … »
Quelques cinquante millions d’années d’évolutions ont façonné de manière irréversible l’anatomie, la physiologie, et la sensibilité émotionnelle du cheval.

Une alimentation saine et équilibrée avant tout !

La base de toute médecine réellement préventive est l’alimentation quotidienne, la façon de se nourrir ou d’être nourri. Il n’est pas nécessaire de donner de grosses quantités d’aliment concentré pour subvenir aux besoins d’un cheval, tout l’effort doit être porté sur la qualité des aliments de base ! Une alimentation nécessitant une grosse quantité de concentrés pour satisfaire un besoin révèle dans sa composition un déséquilibre et aura tendance, en plus des carences qu’elle induit, à surcharger, voire intoxiquer.  Lire la suite…